La servante écarlate – Margaret Atwood
Quatrième de couverture :
Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d’esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, « servante écarlate » parmi d’autres, à qui l’on a ôté jusqu’à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l’austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler… En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté. Paru pour la première fois en 1985, La servante écarlate s’est vendu à des millions d’exemplaires à travers le monde. Devenu un classique de la littérature anglophone, ce roman, qui n’est pas sans évoquer le 1984 de George Orwell, décrit un quotidien glaçant qui n’a jamais semblé aussi proche, nous rappelant combien fragiles sont nos libertés. La série adaptée de ce chef-d’oeuvre de Margaret Atwood, avec Elisabeth Moss dans le rôle principal, a été unanimement saluée par la critique.
Mon avis :
Après le succès planétaire du livre et de la série, j’ai enfin pris le temps de découvrir l’ouvrage de Margaret Atwood.
Je m’attendais à un réel coup de cœur, tant vous étiez nombreux à vous enthousiasmer quand je vous ai parlé de cette lecture. J’ai passé un bon moment avec ce roman mais je m’attendais à beaucoup mieux !
A l’origine, peu attirée par les dystopies, l’écriture de l’auteure n’a pas aidée à me plonger dans cette histoire. J’ai eu beaucoup de mal à entrer dans le roman, trouvant le récit décousu, et une mauvaise traduction par moment. Impossible de m’attacher à l’héroïne.
Le livre n’en reste pas moins terrifiant, poignant et inquiétant.
Dites-moi en commentaire ce que vous en avez pensé et si vous me conseillez la série 😉 Pour le moment, je ne suis pas forcément convaincue…